Dans les écoles que nous avons fréquentées dans notre enfance et dans notre jeunesse, nous avons rencontré des maîtres, qui nous ont appris à développer notre corps, notre raison, notre intelligence afin de nous permettre d’assurer plus tard notre survie. Nous pourrons ainsi assurer notre dignité et notre honneur extérieurs : nous aurons un toit, nous pourrons nous nourrir, nous vêtir et assurer notre sécurité.
Mais aussi nous cela nous procurera la considération d’autrui. Et là, le péril de l’avidité nous guette ! Car nous sommes insatiables en termes de considération ! Quelle tentation d’écraser autrui pour avoir plus.
Heureusement, il est en nous une autre réalité: notre sphère privée, composée de notre cœur de notre âme et de notre esprit. C’est l’élément régulateur, animé par les valeurs que nous avons choisies, qui nous conduira à souhaiter pour autrui ce que nous nous souhaitons pour nous-mêmes. Ainsi nous éviterons de perdre notre honneur et notre dignité intérieurs.
Pour développer cette sphère privée, pour la renforcer, il faut fréquenter une autre école, suivre un autre maître, celui que nous nous choisirons.
Offrir cette possibilité, c’est la mission de l’Ecole soufie. Le Maître qui dispense les enseignements formateurs de l’âme s’appelle Cheikh Aly N’Daw.